Les pérovskites sont un matériau prometteur pour les cellules photovoltaïques : on pense qu'à terme elles pourraient remplacer le silicium, largement utilisé aujourd'hui. Elles sont malheureusement fragiles et se dégradent rapidement sous illumination solaire. Des chercheurs rennais viennent de contribuer à expliquer comment une version améliorée de ces matériaux, mise au point par des collègues américains, peut s'auto-réparer dans le noir en moins d'une minute. Parution dans Nature Communications.

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Plus d'informations sur le site de l'Université de Rennes 1 : https://www.univ-rennes1.fr/actualites/11052016/de...